Quelques chiffres sur l’impact du recyclage des archives radios

Avr 13, 2020

100% de réemploi des matières premières issues du recyclage des archives radios : un impact environnemental positif en quelques chiffres

1- Le réemploi de la pâte à papier recyclé

 

Recycler des vieux papiers permet de réaliser de substantielles économies d’énergie et d’eau.

En effet la fabrication d’un papier recyclé consomme 3 fois moins d’eau et génère moins d’émissions de CO2 que la production d’un nouveau papier fabriqué à base de fibres cellulosiques (issues des arbres résineux ou feuillus).

Le papier est un vrai biomatériau renouvelable : les fibres de la pâte à papier sont recyclables 5 fois de suite, tout en conservant un papier aussi blanc qu’un nouveau papier issu de la coupe d’arbres.

Quand vous nous confiez la destruction sécurisée et le recyclage d’1 tonne de papiers voici les économies d’énergies que vous générez :

m3 d’eau

(équivalent à 1 douche de 5’ tous les jours pendant 14 mois)

kg de CO2

(équivalent à 1 aller-retour entre Lyon et Paris du lundi au vendredi pendant 1 an de travail)

KWh d’énergie

(équivalent à 7 heures d’utilisation quotidienne d’un ordinateur pendant 23 ans)

arbres

2- Le réemploi du PET et des sels d’argent issus des radiographies :

 

Le procédé de traitement des vieilles radios s’effectue par lavage des films argentiques, et non par incinération, dans des bains en circuit fermé, ce qui permet de ne pas dégager d’émissions de fumées ni de rejeter de gaz comme le C02 dans l’atmosphère.

Ce process de lavage évite donc la fusion du support plastique en PET qui alourdirait le bilan carbone de cette opération.

Une fois lavés, les supports en PET des radiographies sont broyés :

2- Le réemploi du PET et des sels d’argent issus des radiographies :

 

Le procédé de traitement des vieilles radios s’effectue par lavage des films argentiques, et non par incinération, dans des bains en circuit fermé, ce qui permet de ne pas dégager d’émissions de fumées ni de rejeter de gaz comme le C02 dans l’atmosphère.

Ce process de lavage évite donc la fusion du support plastique en PET qui alourdirait le bilan carbone de cette opération.

Une fois lavés, les supports en PET des radiographies sont broyés : 

tonnes de CO2

(équivalent à 1 aller-retour entre Lyon et Paris du lundi au vendredi pendant 4 ans de travail)

cartouches d’encre petit format

(poids équivalent à 101 000 bouteilles d’eau minérale)

Concernant les sels d’argent, ceux-ci sont refondus pour ensuite être réintégrés dans les circuits de production : 

Vous contribuez ainsi à un schéma d’économie circulaire et de réemploi de matières premières secondaires.

Dans sa stratégie environnementale VALOREMA garantit 100 % de réemploi et zéro enfouissement.

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Un conseiller est à votre écoute pour analyser vos besoins et vous proposer une solution d’élimination pour vos vieux dossiers patients.

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